Bien avant les missionnaires européens du dix-septième siècle, les astronomes chinois disposaient de techniques perfectionnées. Ils les avaient enrichies au contact des astronomes arabes à partir du treizième siècle. Sous Kubilai Khan, Guo Shoujing, supervisait la construction d'observatoires impressionnants, qu'il équipait d'instruments sophistiqués. Pour autant, la vision chinoise des mouvements célestes était très éloignée des modèles occidentaux de l'époque, et beaucoup plus proche de notre vision actuelle. Voir aussi Al-Biruni et al-Tusi Théorème de Thalès et applications
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