La proportion des voyelles a souvent alimenté les préjugés qui voudraient qu'une langue soit d'autant plus musicale qu'elle a plus de voyelles. Pourtant Alberti, bien avant le début de la statistique, avait déjà remarqué une différence statistique dans la proportion des voyelles des textes latins écrits par des poètes et des orateurs. Au cours des siècles suivants, la proportion de voyelles est remontée de loin en loin comme détail statistique. Elle est le seul exemple que Markov ait donné de ses chaînes. Voir aussi Premier test statistique Statistique littéraire et loi des grands nombres
public : tous