Les paradoxes logiques ont accompagné la pensée philosophique et mathématique, au moins depuis Aristote. Au moment où Frege construisait sa théorie logique, Russell, en remettant au goût du jour le vieux paradoxe d'auto-référence, a failli mettre à bas tout l'édifice. L'échange qui s'en est suivi, ainsi que la réflexion de Hilbert et de son école à Göttingen, ont permis d'établir les mathématiques sur une base d'une rigueur inconnue jusqu'alors. Voir aussi Logique chinoise L'infini mathématique
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