Vandermonde n'a écrit que quatre mémoires de mathématiques, mais tous méritaient de rester dans l'histoire de l'algèbre. Le plus important relie la résolution des équations par radicaux aux fonctions symétriques des racines. Il est le point de départ des travaux ultérieurs de Galois et Abel. Un autre mémoire porte sur les déterminants. On y trouve une astuce d'écriture qui a été plus tard la base de la définition utilisée par Cauchy. Voir aussi Seki Takakazu, algèbre au Japon Galois, Abel, et le cinquième degré
public : lycéens et étudiants