Du manuscrit au livre

plagiaires et mathématiciens

Les premiers livres de mathématiques imprimés étaient majoritairement des arithmétiques commerciales. Tous n'étaient pas des œuvres originales. À côté d'un Calandri dont le livre imprimé reprenait un manuscrit qu'il avait lui-même écrit, on retrouve des pans entiers de manuscrits connus, dans d'autres livres. C'est le cas du livre de Pellos, écrit en dialecte niçois, ou de Santcliment, écrit en catalan. Les livres célèbres de Luca Pacioli, en particulier sa Summa Arithmetica, doivent beaucoup aux manuscrits de Piero della Francesca, qui a pu être son professeur. Voir aussi Arithmétiques commerciales

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