Les coordonnées cartésiennes, viennent tout autant de Fermat que de Descartes. La véritable révolution ne consistait pas en la définition de l'abscisse et l'ordonnée, qui remontent à Apollonius, mais en la traduction de problèmes géométriques en termes d'équations algébriques. L'algèbre permettait désormais de résoudre des problèmes inaccessibles aux techniques des Grecs. Voir aussi
Coniques d'Apollonius
Thabit ibn Qurra et l'analyse
public : lycéens et étudiants
Sa méthode était plus sûre que ses théories
Descartes, Fermat et les coordonnées
Les marges de ses livres étaient trop exiguës
Fermat et l'arithmétique
Un des derniers grands mathématiciens grecs
Descartes, Fermat et les coordonnées
À quelle machine n'a-t-il pas rêvé ?
Leibniz, précurseur de l'informatique
Un ami de Pascal a aidé à diffuser sa machine
Machines à calculer
Il avait un ingénieur mathématicien officiel et un cryptanalyste
officieux
Viète, cryptographie et algèbre
Le patron de Stevin et de Girard de mêlait de mathématiques
Stevin, Girard et l'algèbre avant Descartes
Il était le correspondant de tous les savants d'Europe
Forfanteries d'Athanase Kircher
Son livre sur les coniques était encore étudié dix-neuf siècles après
Coniques d'Apollonius
La première synthèse européenne de la géométrie et de l'algèbre
Descartes, Fermat et les coordonnées
Oresme et la représentation des fonctions
Méthode cartésienne et logique
Optimisation selon Fermat
Stevin, Girard et l'algèbre avant Descartes
Harriot entre Viète et Descartes
Localisation des racines d'équations
référence : Descartes (1664) La géométrie, Paris : Angot
source : e|rara
Les arithmétiques de Diophante, avec les fameuses annotations de Fermat dans des marges trop exiguës
Algèbre et géométrie en Mésopotamie
Recettes, algorithmes et mathématiques
Arithmétiques de Diophante
Récréations mathématiques
Descartes, Fermat et les coordonnées
Fermat et l'arithmétique
Sophie Germain et ses mathématiques
Théorème de Fermat, de Kummer à Wiles
référence : Diophante, Fermat (1853) Précis des œuvres Mathématiques de Pierre de Fermat et de l'Arithmétique de Diophante, trad. : E. Brassinne, Toulouse : Douladoure
source : Gallica